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Dead bodies of the Secret Police, who had been ordered to protect the Budapest headquarters of the Communist Party, lie lined up in front of the conquered building ca. 1956

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(via HamPage: Villamosok a Rákóczi úton 2. - Az Erzsébet hídtól a Vas utcáig)

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Sárdy János: Rózsalevél

Jani bácsi odabassza

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6cippo:

Uramisten, az megvan, hogy ez itt még összesen két sáv?!
A Könyves Kálmán körút. (forrás)

Régen minden stb.

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FreshAir (by 2012EuroGames)

So goooood :) And I have friends in the movie :D Well one for sure :D half IRL OTP :D <3

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forsha:

All of you who had been to any Prodigy concert you know very well that if you're in a second-third row you are quite unable to make good pictures.

One of the best concerts I've been on. Ever. If they'll ever come close again I'm going. But a bit more prepared this time (;-D)

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tenczerszofi: budapest sightseeing.

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tokyosunset: budapest, hungary.

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Théodore Géricault

Socialisme du goulash

L'expression « socialisme du goulash » désigne le régime politique en œuvre en République populaire de Hongrie durant la Guerre froide. Elle désigne la politique instaurée dans la deuxième moitié des années 1950, après la fin du régime stalinien de Mátyás Rákosi et la répression de l'insurrection de Budapest. Cette politique, menée sous l'impulsion de János Kádár, est considérée comme plus tolérante que celle en vigueur dans les autres pays du bloc soviétique.

On trouve également dans certains ouvrages l'expression de « baraque la plus gaie du camp socialiste »¹ qui permet de souligner le particularisme du régime hongrois, tout en insistant sur le caractère relatif du « laxisme » attribué aux dirigeants du Parti communiste au pouvoir.

Bien que sous influence soviétique, le Parti socialiste ouvrier hongrois (PSOH) fut perçu par certains de ses voisins comme plus libéral et permissif que d'autres pays du bloc soviétique. La politique de János Kádár, qui assouplit la dictature en réformant l'économie et certains aspects politiques du régime, en est tenue pour partie responsable.

En 1968, Kádár lance une série de réformes économiques qui, tout en maintenant les principes du communisme soviétique, libéralisent plusieurs secteurs. Ces réformes permettent d'établir un certain consensus entre le Parti et la société et de donner à la Hongrie une stabilité et une prospérité relative à la fin des années 1970, alors que la République populaire de Pologne est traversée par de nombreuses grèves. Ainsi, le projet politique de réformes baptisé Nouveau mécanisme économique permet à la Hongrie d'être exportatrice et de ne pas connaitre de pénurie alimentaire quand, à la même période, les États communistes non réformateurs subissent de lourds revers économiques.

De même, les conséquences de ces réformes telles que l'autonomie de gestion accordée auxkolkhozes permettent un climat un peu plus libéral que celui régnant dans les autres pays sous influence soviétique.

Ces conditions économiques favorables ne remettent pas en cause le caractère répressif du régime de Kádár, notamment en matière de libertés politiques. Les difficultés économiques rattraperont par ailleurs le régime au milieu des années 1970. Cependant, l'expression souligne l'exception économique que constitue la Hongrie et la relative autonomie politique du PSOH vis-à-vis de l'URSS.